Le blog d'eve anne, Madrid.

Cuerpo de mujer mía, persistiré en tu gracia. ¡
Mi sed, mi ansía sin límite, mi camino indeciso!
Oscuros cauces donde la sed eterna sigue,
y la fatiga sigue, y el dolor infinito.
Voilà, une fois de plus, la réalité nous arrache des larmes de douleur.
Et nous restons là, avec notre chagrin, et notre lâcheté.

Mer 23 jan 2002
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Que dire devant tant d'injustice? Tant d'absurdité? Tant de force brutale et aveugle? Tant de besoin de s'affirmer le plus fort au point de réduire l'autre, la femme, en objet? Je ressens ton émotion, eve anne, et j'ai la même. Pauvre Laëtitia... J'ai aussi beaucoup de chagrin pour cette jeune fille, cette vie brisée, à 18 ans... Je t'embrasse. Ophélie