Le blog d'eve anne, Madrid.

 Liesse 172

 IV

 

Nous avons passé tout l'après midi à papoter. J'ai été très heureuse d'avoir aimé Axelle, elle était remarquablement belle, joliment bronzée avec son teint de blonde. Toute nue, elle était la Vénus en personne. Donner ça en pâture à un mec, quel gâchis !
Liesse et Axelle se revirent souvent. Mais Liesse n'oubliait pas pour autant Guillaume. Elle avait besoin de lui, elle y pensait sans arrêt.
Axelle fit une demande en divorce.

Guillaume ne se contentait pas de lui faire l'amour, Il s'occupait d'elle. Il l'emmenait en voyage, lui faisait visiter des endroits qu'elle n'aurait jamais soupçonnés. Ils sortaient dans des boîtes d'homos, où elle n'avait jamais mis les pieds. Elle adora ça, l'ambiance, toutes ces filles ensemble, tous ces garçons se faisant des mamours, Elle et lui étaient l'exception. Les filles ne se gênaient pas pour la peloter au passage, lui mettre la main aux fesses, et toutes sortes de joyeusetés du même genre. Guillaume était soumis au même traitement.

Ils sont allés en vacances ensemble. Sur les plages naturistes d'IBIZA ils ont passé des moments fabuleux. Ils ont participé à quelques soirées de groupe, où Liesse n'a pu compter le nombre de filles qu'elle a embrassé, et le nombre de sexes durcis qui se sont serrés contre elle. Guillaume lui a tout appris de la tendance homo mâle. Il lui a montré sa collection de bijoux, c'est le nom qu'il emploie pour décrire tous ces objets sexuels qui existent. Une collection impressionnante de cocks-rings, certains étaient des présents gravés, dont un plaqué or, ces sortes d' alliances qui se portent autour du gland, ces épingles dont j'ai oublié le nom, qui pénètrent ans l'urètre en entourant le gland. Les chaînes avec des pinces, les harnais de cuir, enfin toute la panoplie du parfait homo.
Liesse avait toujours de la peine à quitter Guillaume. Il partait toujours en déplacement, Il était toujours aussi efficace. Quand il n'était pas là, elle passait la nuit avec Axelle. Elle l'avait avoué à Guillaume, qui avait déclaré :
« C'est un excellent choix, c'est une fille superbe. »
Mais même quand Axelle était là, elle pensait à lui. Curieusement, il ne parlait jamais de vivre définitivement avec elle. Elle savait que lors de ses déplacements, il voyait des garçons. Quelques fois il racontait. Elle n'eût plus jamais envie de revoir François ni personne. Pourtant elle aurait aimé qu'Axelle participe avec Guillaume.
Liesse savait que ce n'était pas bien, mais il n'y avait pas de possibilités de vivre autrement. Il survint un autre évènement inattendu. François appela Liesse, un soir.
Sans détours, il lui demanda si elle aimerait venir chez lui passer une soirée. Liesse fut surprise, Elle pensa tout de suite qu'elle allait accepter. Mais François compliqua les choses en ajoutant :
« Si Guillaume vous laisse venir évidemment. »
Avec Guillaume mêlé à la discussion, ça devenait plus difficile.
«Vous avez raison, je lui en parle. J'espère que je pourrai vous retrouver. »
Guillaume ne parut pas être opposé, il ne voyait vraiment pas, de quelle autorité il pourrait user pour empêcher Liesse de faire l'amour avec François si elle en avait envie. D'autant plus que François avait accepté l'année passée de la recevoir.
Liesse accepta l'invitation de François. La rencontre combla toutes les attentes de Liesse, qui se donna sans réserve à l'amour de François. Elle retrouva avec beaucoup de plaisir son sexe démesuré, et maintenant, il savait satisfaire une femme. Liesse ressentit même quelques douleurs heureusement vite disparues. Il faut dire aussi que plus de vingt cinq centimètres dans le ventre, il faut pouvoir l'accepter. Le sexe de François était proportionnellement aussi gros qu'il était grand. Les sensations étaient très fortes, et comme la première fois, elle eut plusieurs orgasmes. François faisait attention de préserver ses moyens. Il demanda ensuite à Liesse si elle aimerait le voir se masturber. Elle trouva la proposition saugrenue, mais ne refusa pas. D'ailleurs elle ne le regretta pas, C'était absolument excitant, et l'apothéose fut spectaculaire. Liesse n'avait jamais vu autant de sperme, jaillir avec autant de force. Ses seins en étaient totalement couverts.  Elle était très excitée. Elle lécha avec plaisir le sexe de François pour récupérer le reste de sperme. Elle  commença à se masturber, sans attendre que François lui en fasse la demande. Il la regarda faire en lui caressant doucement les seins, le ventre, le cou le visage... Liesse ne se sentait plus de désir, et pour la première fois de sa vie, elle en fut la première surprise, un jet puissant jaillit de son sexe en lui procurant un plaisir intense.
Elle eut du mal à récupérer. Cette fontaine inattendue lui avait consommé toutes ses forces. Elle s'excusa d'avoir trempé le lit à ce point. François avait été extrêmement surpris voire excité par la scène, et si Liesse n'avait pas demandé grâce, il l'aurait reprise avec fougue.
Quelques jours passèrent, Liesse ressassait tous les moments enivrants de sa vie actuelle.
Guillaume, François, Axelle....Que lui fallait il de plus ?
Elle était simplement heureuse de savoir encore faire la différence entre sa vie sentimentale mouvementée et sa vie professionnelle.
Et puis un matin, pour  Liesse,  ce fut la surprise. Alors qu'elle était généralement réglée à la minute près, cette fois ci, il ne se passa rien. Elle pensa tout de suite qu'elle était enceinte. Mais elle portait un  Stérilet, donc ce n'était a priori pas possible.
Elle prit rendez vous chez sa gynéco préférée. Il ne fallut pas longtemps pour découvrir que le stérilet avait disparu, Liesse l'avait perdu.
Oui, c'est vrai, il y a quelques temps, au cours de rapports, elle avait ressenti des douleurs particulières, c'était lors une rencontre avec François, particulièrement active. Elle pensa que François était allé trop loin, trop fort. D'ailleurs, les douleurs disparurent, même après les rapports suivants, avec Guillaume, elle n'avait ressenti rien d'autre que du bonheur.
S'ensuivit une longue discussion avec la dame, pour évoquer tout ce qu'une grossesse pouvait apporter comme joies mais aussi comme contraintes. La nouvelle était trop fraîche, elle décida qu'elle réfléchirait.
Tout au fond de son cœur, elle fut heureuse de cette nouvelle. Guillaume n'avait-il pas dit qu'il aimerait faire sa vie avec elle ? C'était l'occasion. Qu'allait-il en penser ? Nul doute qu'il allait être très heureux. Encore qu'il avait dit cela tout au début de leur relation, maintenant il pensait peut être différemment ? Pourtant, Liesse avait l'impression qu'ils étaient de plus en plus proches l'un de l'autre. Sans faire de grandes déclarations, un amour serein s'était installé entre eux. Liesse ne regrettait rien. Pour Axelle, ça sera différent, il y a de fortes chances pour qu'elle le prenne très mal, et ce serait la fin de leur liaison. François n'y était pour rien, elle n'avait passé qu'une soirée avec lui, et c'était en dehors des périodes de fécondité.
C'est Axelle qui fut choisie pour la première annonce de l'évènement.
« Mais c'est formidable » s'écria t elle, « J'espère que Guillaume sera content. En tout cas, s'il n'en veut pas, je veux bien être le père » dit elle dans un grand élan de joie. Liesse fut étonnée et heureuse de cette réaction et manifestation de joie. Sauf qu'elle avait dit : « Si Guillaume n'en veut pas.. » et Liesse n'avait pas songé une seconde à cette éventualité.
Elle se décida donc à brûler les étapes, et se prépara pour annoncer la nouvelle à Guillaume.
Elle choisit de le faire lors d'une soirée au coin du feu qu'ils avaient préparée dans la maison de Guillaume. Liesse avait pour l'occasion préparé un repas savoyard, choisi des vins pour l'occasion, mis des bougies partout, C'était beau, c'était chaud, ce serait une soirée importante dans leur relation.
Elle ne pensait pas si bien dire. Elle apprit la nouvelle à Guillaume. Peut être qu'elle s'y est mal prise, en tout cas la réaction de Guillaume fût des plus inattendues.
« Ce cochon de François, il te saute une fois tous les ans, et il te met enceinte ! 
-  Mais Guillaume, ce n'est pas François, ce n'est pas possible, il s'agit de ton enfant, de notre enfant, les dates en sont la preuve !
-  Les dates, les dates, je n'y crois pas ! Elles ne sont pas gravées dans le granit ! N'essaie pas de me faire endosser la paternité.
-  Mais Guillaume....
-  De toute façon, tu ne vas pas le garder ? Quand c'est fait tout de suite, ce n'est rien du tout ! »
Liesse sentait monter en elle une colère violente. C'était le premier accroc de sa liaison avec Guillaume.
«  Mais enfin, tu n'avais pas de contraceptif ? Tu m'as mené en bateau tout le temps alors ?
-  Tu ne comprends pas, je peux tout expliquer. Et si tu ne me crois pas, on peut aller voir le médecin ensemble !
-  Ne perds pas ton temps, n'essaie pas de te prouver quoique ce soit, ce n'est pas utile, puisque tu vas le faire passer »
Le faire passer ? Alors qu'elle aurait tant voulu que Jullien la mette enceinte. Elle y était parvenue avec un homme qu'elle aimait passionnément.....
C'était le mot de trop. La colère de Liesse s'écroula, et fit place à une résolution glaciale.
« Guillaume, je ne t'ai pas menti. Je garderai cet enfant, que tu le veuilles ou non. Réfléchis, et rappelle-moi si tu changes d'avis. Sinon je ne te reverrai plus. »
Ceci étant dit, Liesse reprit son manteau, reprit sa voiture, et reprit le chemin de son appartement. Arrivé chez elle, abasourdie, elle n'eut même pas la force de pleurer.
« Mais quel con ! Mais pour qui se prend-il ? »
Dans son esprit, la chose était entendue, elle savait que dès à présent elle serait seule.
Elle prévint Axelle le lendemain.
« Je ne suis pas étonnée, si les hommes étaient honnêtes, ça se saurait ! Mais s'il n'en veut pas, moi je veux bien m'en occuper avec toi. »
Solidarité féminine ? Non de l'amour, simplement.
Le lendemain, Liesse demanda une entrevue avec le directeur de l'usine.
«Que me vaut ce plaisir de vous voir en tête à tête ? De bonnes nouvelles j'espère ! 
 -  Oui et non Monsieur. Malgré tout le plaisir que j'ai à travailler pour vous, je dois vous donner ma démission.
- Ce n'est pas possible ! Que se passe t il ? Vous avez des problèmes d'argent ?
-  Non Monsieur, c'est bien pire que ça !
-  Je vous écoute.
-  Je ne veux pas vous importuner avec mes histoires, mais je vais avoir un bébé, et je ne peux rester ici.
- Un bébé ? Excusez-moi, mais à l'âge que vous avez, généralement c'est une bonne nouvelle !
-  Je le croyais aussi, mais le père ne veut pas reconnaître l'enfant.
-  Ha ! Il ya des salauds partout. A sa place, je vous ferais des enfants rien que pour être sûr de vous garder !
-  Merci, j'ai peut être mal choisi ! » Elle trouva le courage de sourire à cette évocation.
« Asseyez vous, reprenez vos sens, et racontez moi tout.
-  Je vous ai dit l'essentiel.
-  Mais le père, c'est qui, je le connais ?
-  Oui monsieur, c'est Guillaume !
-  Guillaume ? Mais tout le monde dit qu'il est homo !
-  Oui, je sais, mais c'est surtout un bon amant, et j'étais heureuse avec lui.
-  Que puis-je faire pour vous ?
-  Me laisser partir le plus tôt possible, je ne tiens plus à le fréquenter, et ça serait gênant pour le travail.
-  Oui, je le conçois. Avez-vous de la famille par ici ?
-  Non, aucune, ma famille est du sud est, mais moi je n'y ai jamais vécu.
-  Laissez-moi réfléchir quelques temps. En attendant vous allez continuer à
travailler pour moi, mais à domicile. Axelle sera votre interface. »

En prononçant ces mots, il sourit de toutes ses dents et déclara :
« Le choix d'Axelle est une pure coïncidence évidemment.  C'est curieux, votre liaison avec Guillaume est passée inaperçue, alors que tout le monde connaît celle que vous avez avec Axelle. Les gens parlent beaucoup !
-  Et disent souvent n'importe quoi.
- Ce qui importe, c'est que votre travail soit fait et bien fait. Je vais arranger votre poste pour que vous puissiez travailler le temps de vous retourner. Je n'ai pas l'intention de vous perdre. »
Liesse s'approcha et l'embrassa sur la joue. Monsieur Demartin n'en revint pas, et devint rouge comme une tomate.
Monsieur Demartin trouva la solution. Il proposa à Liesse de s'installer à Anglet, là où il y avait une agence de la société. Et il ferait revenir la jeune femme qui est en poste là bas et qui ne s'y plait pas. Liesse accepta. Personne ne fut mis au courant, excepté Axelle bien évidemment. Ce n'était pas grave, Guillaume faisait tout pour l'éviter. Elle crut pendant quelques temps qu'il allait se manifester. Ils s'entendaient jadis tellement bien. Mais il ne le fit pas. Liesse organisa donc son déménagement. Axelle décida qu'elle accompagnerait Liesse, pour « s'occuper d'elle ». Liesse était plutôt contente, et le Directeur n'y vit aucun inconvénient, il la remplacerait sans difficultés.
Le déménagement ne posa aucun problème. Le seul qui eut un gros cafard de la voir partir, fût le patron de la boîte, qui écourta les adieux pour ne pas laisser voir sa tristesse, ou peut être plus.
Elles s'installèrent toutes les deux à Saint Jean de Luz, dans un bel appartement avec vue sur la mer. Elles s'habituèrent très vite. Vivre avec Axelle ne posa aucun problème. Axelle avait ce don de savoir anticiper la conduite à tenir. Elle ne fut jamais un poids pour Liesse, elle s'occupait de tout, et liesse se laissa chouchouter sans résister. L'amour que la jeune Axelle éprouvait envers Liesse était sincère, et très intense. Elle veillait à tout, elle était son chien de garde. Malheur à qui aurait osé dire un mot de travers à sa bien aimée. De la société, elle avait des nouvelles par le patron directement, qu'elle avait au téléphone tous les jours. Si elle oubliait, c'était lui qui appelait. Monsieur Demartin était amoureux de Liesse, mais comme cet amour était sans avenir, il ne se déclara jamais. Seule Liesse s'en rendit compte, mais n'en parla à personne. Le bébé montra son nez quelques mois plus tard. Bien sûr, Axelle assista Liesse dans ces moments douloureux. Bien sûr le bébé fut le plus beau bébé du monde. Les deux femmes étaient au summum de la joie, Liesse d'avoir fait l'enfant, Axelle de l'avoir « mis au monde » Nul doute que celui là serait chouchouté ! C'était un joli petit garçon de trois kilos et demi. Les deux femmes eurent beaucoup de plaisir à contempler le petit sexe du bébé, qui, proportionnellement n'était pas si petit que ça. Il ressemble à son père ironisait Liesse. J'espère qu'il sera moins con disait Axelle très pragmatique. Mais elle se reprenait vite. Elle était satisfaite des évènements. Grace à Guillaume, elle vivait un bonheur parfait avec Liesse.  Elles l'appelèrent Jérôme.
Axelle avait facilement trouvé du travail. Elle devint comptable au centre nautique de la ville. Elle était là en intérim, il y aurait des concours à passer. Une vie calme et sereine s'était installée. Jérôme grandissait bien, il était en bonne santé, Et Liesse commençait à retrouver ses formes. Sauf qu'elle allaita le bébé, c'est dire que les seins prirent une allure étonnante. Axelle était émerveillée. Pour elle c'était la première fois qu'elle se sentait aussi heureuse. Elle alla jusqu'à goûter le lait maternel, et il fallut lui retirer le sein de la bouche, tant elle y prenait goût.
Puis un beau jour, liesse reçut un coup de fil. C'est Axelle qui décrocha. Le « allo » enjoué d'Axelle fut suivi d'un long silence. Puis elle tendit le téléphone à Liesse en disant :
"C'est un certain François. Il prétend que tu le connais bien, et il voudrait te voir. Liesse prit le téléphone, et commença une conversation. Axelle devenait de plus en plus inquiète au fur à mesure que Liesse se détendait. Elle comprit que l'homme avait demandé à venir la visiter.
« C'est qui ce François ?
-  C'est un ami de Guillaume.
-  Un pédé lui aussi ?
-  Oui, un pédé, on peut dire ça comme ça.
-  Et tu le connais bien ?
-  Oui, très bien, »
Et le sourire qu'elle avait en disant ces mots, glaça le sang d'Axelle.
« Tu as l'air heureuse, tu as été sa maîtresse ?
-  Nous avons fait l'amour quelques fois.
-  Et tu me dis ça comme ça, tu ne m'en as jamais parlé, Guillaume le savait ?
-  Forcément, il était là aussi.
-   QUOI ?..................... Tu as fait l'amour aux deux en même temps ?
- Ce sont eux qui m'ont fait l'amour en même temps...... et j'ai bien aimé.
Axelle baissa la tête, alla s'enfermer dans la salle de bain, et se mit à pleurer. Une ou deux heures après, Liesse la supplia d'ouvrir la porte. Tu es bête de te mettre dans cet état pour des bêtises, c'est du passé. Je l'ai fait par curiosité parce que Guillaume m'avait laissé entendre qu'il était « super bien monté »
-  Et alors ?
-  Connaissant les attributs de Guillaume, j'étais très curieuse de voir ce que lui, il entendait par « super bien monté »
-  Et alors ?
-  Alors, c'est très impressionnant, et très douloureux aussi. Il m'a décroché le stérilet !
-  Je te fais grâce des détails.
-  Je t'en parle parce que tu as amorcé la conversation. Mais si tu es intéressée, il ne demandera pas mieux de te faire l'amour, il ne résistera pas à une super nana comme toi !
-  Manquerait plus que ça, tu sais que rien que le fait d'y penser me donne la nausée. Je ne suis pas portée sur le sexe des hommes.
-  Comme tu voudras.
-  Jure-moi que tu ne feras plus l'amour avec lui !
-  Je ne jure de rien. Si je dois un jour prochain faire l'amour avec un homme, j'aime autant que ce soit avec lui.
-  Il n'est quand même pas le père de Jérôme ?
-  Non, c'est certain. Mais c'est un très bon amant, sûrement le meilleur dont on puisse rêver.
-  Très bien, préviens-moi, que j'ai le temps de faire mes valises.
-  Ne sois pas idiote. Faire l'amour, ce n'est pas le bout du monde. Ce n'est qu'un plaisir, que ce soit avec une femme ou un homme, c'est pareil.
-  Ok, si c'est pareil tu te passeras de moi. Va retrouver ton pédé de copain, et moi je m'envoie en l'air avec le premier con qui passe. »


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 Suite

Jeu 23 jan 2003 Aucun commentaire